Lettre de Mimouni au Dr Al kardaoui
Salutations et respects
Mr le Docteur Al Karadaoui
Vous etes l'icône de l'islam et de la légitimité et ce n'est pas moi qui va contester ou critiquer le choix de ceux qui ont placé leur confiance en vous et vous ont choisi président universel des Oulémas.
Je sais aussi que ce serait peine perdue d'attendre une réponse a mes questions car je ne pense pas que les faibles de ce monde vous influencent mais les générations futures ppourraient analyser et répondre a mes questions.
Monsieur, vous semblez totalement engagé aux cotés des soulèvements des populations en unisie et Egypte c'est votre droit et je partage pas votre zèle, un Imam aurait préché le dialogue, la correction et la réparation et non la haine et la guerre.
Je vous reproche Monsieur de refuser de soutenir ou donner la moindre importance aux revendications du peuple Algérien sachant que Mr ben Ali, Mr Moubarak et Mr Bouteflika gèrent le pays et ses citoyens de la meme manière et leur citoyen est donc identique.
Je sais la relation familiale qui vous lie a l'Algérie mais a mon avis cela , vu votre fonction et votre savoir ne devait pas vous empecher d'etre equitable envers les citoyens qui souffrent.
Monsieur, voila deja plusieurs années, que votre ami, Mr le président Bouteflika nloque la frontière et empeche tout contacts entre les Marocains et leurs frères Algeriens, entre les Marocains et leurs frères Musulmans Arabes du moyen Orient, entre les Marocains et la terre sainte dont la mecque, de meme que entre les pays Arabes du Maghreb et du moyen Orient et le continent Africain .. par malheur, vous n'avez jamais jugé utile d'emettre une fatwa qui facilitera le contact entre les musulmans et la terre sainte.
Voila maintenant 20 ans que votre ami etrangle les peuples du Maghreb et empecher leur unité et intégrité et vous semblez eviter de dénoncer cette attitude.
Monsieur, on a l'impression que la chaine Aljazeera assisté par votre personne entame un long programme de destabiliser la nation Arabe en favorisant et assistant le soulèvement et non le dialogue et la réparation